21/11/2017 – Les JAM’ettes : des liens forts dans la durée

21 novembre 2017 Non classé

Elles ont enchaîné deux cycles consécutifs entre janvier 2016 et septembre 2017. À l’heure du bilan, une certitude s’impose : elles continueront à se voir.

 

Les JAM'ettes lors d'un petit-déjeuner de travail

 

Confié à l’animation d’Aurélie BEIGNON, le groupe des JAM’ettes a réuni sept coachs et consultantes de la région nantaise. Au-delà de leurs différences d’âge, de culture, de parcours et de spécialité, elles ont un point commun : celui d’exercer leur activité via la société de portage salarial JAM. C’est en effet Annie GUERREIRO, responsable de l’agence de Nantes, qui leur a proposé de participer à l’expérience. « La composition du groupe avait été travaillée et c’était fondamental ; je m’y sentais bien et il n’y a jamais eu de couac », confirme Anne.

Leur premier cycle a été un espace d’expression très forte sur des sujets profonds, voire intimes : ajustement de sa posture d’indépendante, mais aussi équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle, temps pour prendre soin de soi etc. Caroline se souvient : « Contre toute attente, on a mis nos tripes sur la table ». Elaine ajoute à son tour : « C’était étonnant, toutes les résonances entre nous… J’étais surprise de voir combien ça me parlait, tout ce dont on discutait, notamment sur le développement de nos activités respectives ». Et Sabine de compléter : « Ce cycle a posé les fondations de notre relation de confiance qui s’est épanouie derrière ».

Leur second cycle s’est inscrit dans la continuité du premier, comme une évidence. À une différence près : « Je venais aussi pour retrouver les copines », explique Isabelle. Pour plus de convivialité, les modalités des réunions ont également évolué. L’idée était de prolonger la séance par un déjeuner partagé. « On s’est dit que ça pourrait être sympa de s’organiser pour tourner chez chacune des participantes », relate Aurélie. Annie témoigne alors : « Chacune a ouvert les portes de sa maison aux autres – et on ne s’y livre pas de la même façon que dans un espace neutre ».

Aujourd’hui, leur volonté est claire : continuer à se réunir régulièrement, tous les deux mois, pour nourrir leur pratique professionnelle. Caroline résume : « Pour moi, venir pour un déjeuner n’est pas assez ». Voici donc l’enjeu pour les JAM’ettes : inventer une autre façon de pérenniser leur groupe autour d’échange structurés apporteurs de solutions… Affaire à suivre !